Justice sur la sellette









Bonjour Mesdames, Messieurs,

Suite à mes nombreux écrits sur les fautes des avocats me portant préjudices que vous avez été pour certain pas mal informé et que jamais aucun fonctionnaire a appliqué la loi pour ouvrir des procédures de poursuite envers l'avocate Mme Nathalie Schallenberger pour tentative d'escroquerie sur moi (si je découvre que un tribunal a cautionné ceci je me verrais également à déposer plainte pour complicité contre le/la fonctionnaires qui m'enverra encore une demande de paiement qui sera donc encore une tentative d'escroquerie au vu des éléments de preuves que je peux fournir), abus de confiance et déni de justice. Il y a donc eu des tribunaux neuchâtelois 1 an de laxisme du je m'en foutisme encore et déni de mes correspondances.

Aucune loi interdit la communication par voie électronique ni qu'elle soit illégale. Ce que vous souhaitez n'est pas dans la constitution suisse me semble et je ne consens absolument pas à vous obéir pour me contraindre donc à communiquer que par vois très coûteuse. Contraindre des citoyen-ne-s a payer des recommander coûteux car seul moyen de garantir que les services concernés puisse nous dire rien reçu malheureusement ça arrive bien trop souvent quand c'est des affaires qui les ennuient alors que les moyens financiers sont très limité pour les classes moyennes et pauvres qui est simplement un moyen par les autorités a dissuader les pauvres et moyennes classe de déposer plainte ce qui est Intolérable. J'ai preuve que les courriers en A+ ont été ignorés ainsi que les courriers en recommander sont restés également ignorés donc ce foutre de moi à bien été effectué par les autorités neuchâteloises et j’ai donc dit c'est terminé je ne consens pas a jouer a perdre du temps et de l'argent car le théâtre et le jeux d’argent c’est pas pour moi mentir n’est pas pour moi car il arrive toujours un jour ou tout se découvre donc ça ne sert à rien. Aucune loi oblige des citoyen-ne-s à devoir payer pour déposer plainte car chacun a droit a avoir accès a se défendre indépendamment de leurs moyen financier pour obtenir une VRAI JUSTICE là au vu de la société actuelle rien est sûr vu le nombre de victime du système judiciaire. Je constate donc que il me faut déposer plainte encore par moi-même car espérer de l’aide et appuie d’un fonctionnaire ayant été informé c’est encore comme réponse (un mutisme généralisé qui peut-être pris comme mais va là bas toi tu nous emmerdes).

Vu que tous font ignorance de leurs obligations de dénoncer dès que des signalements d'abus est porté à leurs connaissances. Le moyen le plus sûr rapide et ayant des témoins reste la voie électronique. Oui je sais ceci vous ennuie car du coup plus possible de faire comme si pas informé avoir rien reçu en clair ni vu ni connu.

Mme Nathalie Schallenberger étant une avocate du canton Neuchâtel faisant en plus de la politique et ayant pouvoir d'influencer certains fonctionnaires du canton de Neuchâtel vu que elle a osé se cacher derrière le juge Hänni comme étant témoins que j'aurai dit refuser l'aide judiciaire ce qui m'a confirmé que elle se sait avoir protection par le système judiciaire neuchâtelois. Ah avoir des connaissance amicales voir pourquoi pas familiale ça aide c'est sûr.

M'a t-elle prise pour une imbécile incapable de déceler les connivences et conflits d'intérêts?

A t-elle pensé que je n'ai pas de mémoire?

A t-elle pensé que je suis bête à me mettre volontairement dans des dettes en sachant et en ayant dès le premier jour en face de cette Mme qui se prend pas pour la queue de la poire que de toute bonne fois j'ai encore été transparente sur ma situation financière ou je gagne pas assez et que j'ai droit à l'aide judiciaire bien clairement dit dans son bureau?

J'ai beaucoup de patience mais ma patience a des limites et donc je réclame là que Mme Nathalie Schallenberger soit poursuivi pour les motifs que j'ai énuméré plus haut et que je peux sans autre prouver des e-mails que j'ai garder comme preuves et distribuer à des ami-e-s de confiance car je sais que la police peut-être mandaté par abus pour faire disparaître les preuves quand certains dénoncés ont de sacrés bras longs.

Concernant les fonctionnaires dans le Canton de Neuchâtel et dans tout autre canton en Suisse, la LOI dit expressément :

Notamment, tout fonctionnaire d’État (cantonal, communal), tout Juge, Procureur-e, Président-e d’un Tribunal.


Art. 22 de la LOI sur le statut de la fonction publique du canton de Neuchâtel :

« Les titulaires de fonctions publiques qui acquièrent, dans l’exercice de leurs fonctions, la connaissance d’une infraction se poursuivant d’office, sont tenus d’en aviser sans délai le Ministère public. Ils procèdent par la voie hiérarchique. »

L’obligation de dénoncer BASES LÉGALES PÉNALES (en suisse)

Obligation de dénoncer

1. En vertu de l’article 33 de la Loi d’application du Code de procédure pénale suisse (LaCP-E4 10) et d’autres lois fédérales en matière pénale :

« Toute autorité, tout membre d’une autorité, tout fonctionnaire (…) et tout officier public acquérant, dans l‘exercice de ses fonctions, connaissance d’un crime ou d’un délit, poursuivi d’office est tenu d’en aviser sur-le-champ la police ou le Ministère public (…) »

2. On entend par « acquérir dans l’exercice de ses fonctions » le fait de prendre connaissance d’une information ou d’assister à un événement dans le cadre de sa fonction (…) ».

A. Les infractions poursuivies d’office sont notamment :

4. Les infractions poursuivies d’office dont des infractions que les autorités pénales doivent poursuivre dès qu’elles en ont connaissance, soit par leur propre constatation, soit par information donnée par le lésé (plainte pénale) ou sur dénonciation d’un tiers.

C’est le code pénal suisse qui définit les infractions poursuivies d’office ou sur plainte.

Sont notamment poursuivies d’office les infractions suivantes :

17. « (…) l’induction de la justice en erreur (art. 304 CP) et l’entrave à l’action pénale (art. 305 CP).

B. Les infractions poursuivies sur plainte

C. Conséquences de l’omission de dénoncer

1. L’article 305 CP réprime l’entrave à l’action pénale en prévoyant notamment à son alinéa 1 que « celui qui soustrait une personne à une poursuite pénale ou à l’exécution d’une peine ou d’une des mesures prévues aux articles 59 à 51, 63 et 64 (CP) sera puni d’une peine punitive de liberté de 3 ans au plus ou d’une peine pécuniaire ».

Ainsi, celui qui omet de dénoncer un crime ou un délit poursuivi d’office sans motif suffisant encourt le danger de se rendre coupable d’entrave à l’action pénale.
Vous êtes conscient aussi de l’obligation de dénoncer des fonctionnaires et autorités qui me persécutent et qui violent leurs serments ou les règles de déontologie, ou la constitution suisse et son préambule ou la simple bonne foi.

- Loi d'application du code pénal suisse :

Art. 33 Obligation de dénoncer

Toute autorité, tout membre d'une autorité, tout fonctionnaire au sens de l'article 110, alinéa 3, du code pénal, et tout officier public acquérant, dans l'exercice de ses fonctions, connaissance d'un crime ou d'un délit poursuivi d'office est tenu d'en aviser sur-le-champ la police ou le Ministère public..Je m'adresse à vous donc en tant que détenteur d'une autorité publique et vous prie de prendre note de tous les faits et de les faire suivre à qui de droit. J'attire votre attention sur le fait que je ne suis pas avocate et que si la teneur de cette demande n'est pas conforme aux procédures judiciaires, il y a lieu de tenir compte de la jurisprudence suisse en la matière : Le destinataire d'un acte doit interpréter la portée de celui-ci d'après le sens qu'il «pouvait raisonnablement lui attribuer en le considérant comme réellement voulu, sur la base de l'attitude antérieure du déclarant et des circonstances qu'il connaissait au moment où la déclaration lui a été faite (ATF 94 II 101, pp. 104-105, JT 1969 I 27, P. 28, cité par Engel, Traité des obligations en droit suisse 2è éd. 1997, pp. 238-239). Une déclaration adressée à une autorité doit être comprise selon le sens que, de bonne foi, son destinataire doit lui prêter (ATF 102 Ia 92, c.2, rés. In JT 1978 I 30). L'administration étant davantage versée dans les matières qu'elle doit habituellement traiter, du moins formellement, on peut attendre de sa part une diligence accrue dans l'examen des actes qui lui sont soumis, afin de leur donner un sens raisonnable, sans avoir à s'en tenir aux expressions inexactes utilisées (Egli, la protection de la bonne foi dans le procès, en Juridiction constitutionnelle et Juridiction administrative, Recueil des travaux publiés sous l'égide de la Première cour de droit public du Tribunal fédéral suisse, pp. 225ss, spéc. Pp. 236-237 et les exemples cités).

De plus et selon la même logique, si le destinataire de cette plainte ne répond pas aux formes de procédures, vous voudrez bien la faire suivre d'office à l'instance compétente.


Enfin, il se réfère à la pratique constante du Tribunal fédéral en la matière, selon laquelle de tels textes sont à interpréter conformément aux intentions du plus faible, vu que vous êtes censé mieux connaître le droit qu'un citoyen de bonne foi.


J’invoque ainsi notamment le principe. Jura novit Curia. Traduction. La cour connaît le droit. TF 5A_62/2014 du 17.10.2014 c. 2.2 En appel, l’instance supérieure examine librement l’application du droit (art. 310 lit. a CPC ; Message, p. 6979) ; à cet égard, il n’y a pas d’obligation d’articuler les griefs (Rügeprinzip).


"(...) les accusations respectivement sous-entendus des parties citées ne reposent sur aucun élément de preuve concret et ne constituent dès lors que de simples allégations, voire appréciations subjectives, de sorte que point n'est besoin d'en examiner le caractère licite."


Me fondant sur l'art. 8 de la loi fédérale du 19 juin 1992 sur la protection des données (LPD), je vous prie de bien vouloir me donner, dans un délai de 10 jours, des renseignements par écrit sur les points suivants:


- toutes les données me concernant qui sont contenues dans votre (vos) fichier(s), y compris les informations disponibles sur l’origine des données

- le but et, le cas échéant, la base juridique du traitement des données

- les catégories de données personnelles traitées

- les catégories de participants au(x) fichier(s)

- les catégories de destinataires des données.

Je vous saurais gré de me confirmer que les renseignements que vous avez que vous êtes dans l’obligation de me donner à ma demande me seront envoyés et sont complets et corrects. Veuillez ne pas oublier toutes les notes en interne que vous avez reçu comme directive à suivre pour effectué abus du mon être naturel souverain ainsi que sur l’être naturel souverain de mon fils.

Si vous ne pouvez pas me donner ces renseignements, je vous prie, en vertu de l'art. 9 LPD, de bien vouloir motiver votre décision.


Pour rappel :

Le moyen de paiement n’est pas conforme à l’article 84 du Code des obligations puisque le versement est effectué par virement bancaire. Tant que l’Etat n’instaure pas de système général de protection de tous les avoirs bancaires (ce qui est conforme à l’économie de marché), il ne peut pas non plus déclarer la monnaie scripturale des banques commerciales, moyen de paiement ayant cours légal, accepté obligatoirement par les créanciers d’une dette d’argent. Cela n’empêche pas les sujets économiques de convenir par contrat – expressément ou tacitement – qu’une dette d’argent puisse être effacée par une bonification sur un compte du créancier auprès d’une banque commerciale ou de la Poste. Il s’agit également, dans ce cas, d’un acquittement de la dette d’argent, et non d’une simple remise en guise de paiement.

Considérant que les moyens de paiement légaux en suisse sont les espèces métalliques émises par la Confédération, les billets de banque émis par la Banque nationale suisse et les avoirs à vue en francs auprès de la Banque nationale suisse. Ce dernier moyen de paiement n’est accessible qu’aux clients de la Banque nationale suisse (BNS), les agents non-bancaires n’y ont pas accès.


De plus, je n’ai jamais signé ni accepté de contrat entre vous et moi ni avec aucun-e de vos confrères et consoeurs et encore moins avec un juge procureur huissier ou autres fonctionnaires des corporations forcloses. Comme l’art. §1-308 UCC me le permet de vous en informer, je ne consens pas à cette obligation de payer car ni vous, ni vos confrères ni vos consœurs, ni juge ni procureur ni autres fonctionnaires des corporations forcloses n’avez de contrat synallagmatiques avec moi qui soit conforme à l’article 1 du Code des obligations, liant votre entités juridiques ni les entités juridiques de vos confrères/consoeurs ou juge ou procureur ou autres fonctionnaires des corporations forclose à la personnalité juridique STOQUET Ameena ainsi que ni vous ni vos confères et consœurs ni juge ni procureur ni autres fonctionnaires des corporations forclose n’avez des factures conforme à la Loi fédérale régissant la taxe sur la valeur ajoutée.

Je vous demande de me certifier par votre signature ci-dessous, que vous n'avez aucun conflit d'intérêt et que, notamment, vous n' êtes pas membre d'une loge franc-maçonne, soroptimiste, rotary, lyons, kiwanis ou autre secte pseudo-religieuse ou analogue à des clubs services. Si vous-mêmes ainsi que les fonctionnaires des corporations dans mes dossiers êtes membre d'une ou plusieurs organisations, je vous prie de le signaler par écrit.

Vous certifiez aussi vous tous n'avoir aucun conflit d'intérêt avec les parties concernées, par exemple des titres de sociétés ou tous autres avantages...


Vous êtes conscient aussi de l’obligation de dénoncer des fonctionnaires et autorités qui me persécutent et qui violent leurs serments ou les règles de déontologie ou la constitution suisse et son préambule ou la simple bonne foi...

https://1dex.ch/2020/06/funplanet-et-justice-la-celerite-et-lart-de-ne-pas-decider/#.XuMvL6Ukzqt

Constitution fédérale de la Confédération suisse

Art. 15: https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19995395/202001010000/101.pdf

(1) La liberté de conscience et de croyance est garantie.

(2)Toute personne a le droit de choisir librement sa religion ainsi que de se forger ses convictions philosophiques et de les professer individuellement ou en communauté.14 juil. 2014. https://www.humanrights.ch › sources

Liberté de religion / liberté de croyance et de conscience - Humanrights.ch

3 Toute personne a le droit de recevoir librement des informations, de se les procurer aux sources

généralement accessibles et de les diffuser.

Art. 16 Libertés d’opinion et d’information https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19995395/202001010000/101.pdf

1 La liberté d’opinion et la liberté d’information sont garanties.

2 Toute personne a le droit de former, d’exprimer et de répandre librement son opinion.

Art. 35 Réalisation des droits fondamentaux

1 Les droits fondamentaux doivent être réalisés dans l’ensemble de l’ordre juridique.

Art. 36 Restriction des droits fondamentaux

4 L’essence des droits fondamentaux est inviolable.

Je vous rappelle que le droit est la base et la limite de l’activité de l’état (art. 5, al.1, CST), et que les organes de l’état et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi (art. 5, al. 3, CST)

Considérant que la Confédération, tous les cantons, toutes les communes et tous les districts sont des corporations (CO, art. 762).

Considérant que la Confédération suisse est une personne morale privée, enregistrée au registre IDE et identifiée par le numéro CHE-114.587.210 ainsi que dans les registres de l’entreprise américaine Dun’s and Bradstreet et identifiée par le numéro D-U-N-S 485642987, documents joints en annexe




Considérant que l’entité juridique qui prétend représenter l’Office des poursuites du canton de Neuchâtel site de la Chaux-de-Fonds est enregistrée au registre IDE sous le numéro CHE-482.865.913 ainsi que dans les registres de l’entreprise américaine Dun’s and Bradstreet et identifiée par le numéro D.U.N.S 480267075, documents joints en annexe


Considérant que le Code uniforme du commerce (ou Uniform Commercial Code / UCC en anglais) s’applique en Suisse depuis 1994 (Message relatif à la loi fédérale sur les titres intermédiés et à la Convention de La Haye sur les titres intermédiés du 15 novembre 2006, point 1.3.1)

Considérant que la Confédération et les cantons respectent le droit international (CST, art. 5 al. 4)

Considérant que le droit international a préséance sur le droit interne par l’article 5 alinéa 4 de la Constitution fédérale ainsi que par la jurisprudence du Tribunal fédéral 2C_716/2014.

Considérant qu’au regard du droit international, toute personne physique est définie comme entreprise (Accord entre la Confédération suisse et la Communauté européenne sur le transport de marchandises et de voyageurs par rail et par route, art. 3)

Considérant que l’entité juridique qui prétend représenter le Canton de Neuchâtel est enregistrée au registre IDE sous le numéro CHE-114.965.341 ainsi que dans les registres de l’entreprise

américaine Dun’s and Bradstreet et identifiée par le numéro D.U.N.S 488915216, documents joints en annexe

J’en conclus que ces corporations n’ont pour seul objectif que de faire du commerce avec la fiction juridique STOQUET Ameena Jocelyne, une fiction juridique dont je serai prétendue titulaire.

Considérant que les corporations sont forcloses depuis l’enregistrement du document UCC FINANCING STATEMENT AMENDMENT ADDENUM numéro 2012127914 (joint en annexe). Ce qui, de fait, ne leur permet pas de conclure de nouvelles affaires et que désormais, toute personne physique n’est plus protégée par une quelconque entité juridique fictive, ses agissements l’engagent à titre privé.

Considérant que moi, l’être humain nommé Ameena Jocelyne, titulaire de la personne juridique prétendument nommée STOQUET Ameena Jocelyne par ouï-dire, suis un esprit de l’au-delà incarnée dans un corps d’os, de chair et de sang.

J’en conclus que l’Être humain que je suis n’est pas sujet de droit suisse

En tant qu’être naturel souverain Ameena Jocelyne, j’administre ma personnalité juridique fictive Stoquet, liée à la famille Stoquet par ouï-dire. Je ne consens pas, selon l’art. § 1-308 du Code Commercial Uniforme (UCC) https://www.law.cornell.edu/ucc/1/1-308, à rembourser la dette de l’Etat qui est une dette illégitime et illégale qui a participé à l’esclavage et au crime contre l’humanité, et à recevoir des ordres et à la soumission d’aucune autorité qui est forclose. Vous trouverez les informations y relatifs sur le site qui contient Une archive de tous les dépôts UCC One Peoples Public Trust (OPPT) qui ont interdit TOUTES les sociétés, y compris les gouvernements et les banques et les systèmes juridique du droit de l'amirauté en 2012/13, y compris les fiducies créées par le vol d'identité de chaque personne sur cette planète par leur naissance Des certificats qui font également de chaque personne une société. Chaque homme ou femme travaillant pour ces anciennes sociétés est désormais responsable de ses propres actions maintenant sans filet de sécurité d'entreprise, car seule la common law existe maintenant en vertu de ces dépôts UCC qui sont maintenant le droit international.

Chaque homme, femme et enfant, à la suite de ces forclusions OPPT, a maintenant son propre fiducie factualisée (compte de dépôt de la réserve fédérale) en son propre nom - mais à ce jour, les gouvernements, etc. n'ont pas informé les gens de l'existence de ces fiducies. bien que des millions de personnes en soient maintenant conscientes et essaient d'y accéder dans le monde entier.


Les dépôts UCC réels sont répertoriés et numérotés dans l'ordre de date / heure sous la lettre / numéro A01, etc. et la forclusion / les annonces officielles, etc. sont répertoriés sous la lettre / numéro B01, etc.


Inclus sous la lettre / numéro C01 est un exemple de confiance factualisée, que chaque personne sur cette planète a maintenant à la suite de ces dépôts UCC, qui nous sont cachés.


La lettre / numéro C02 contient une copie d'un document de l'affaire HATJ / RBK aux États-Unis exposant ce système gouvernemental / bancaire / juridique corrompu et le FAIT que ces fiducies existent - Document Pacer 101 HATJ / RBK Standing Praecipe UNIVERSAL CLEANUP exposer exactement cela – le FAIT qu'il y a un nettoyage universel en cours sur cette planète tout à l'heure pour exposer et éliminer le gouvernement de l'État profond qui dirige vraiment nos gouvernements dans les coulisses.


D01 et D02 sont une liste complète de tous les dépôts UCC ci-dessus, par date et heure de dépôt, sous forme de date aux États-Unis et au Royaume-Uni.


https://archive.org/details/OPPTUCCFILINGS/page/n1/mode/2up

Toutes les corporations sont forcloses et leurs biens sont saisis. La Confédération Suisse, les cantons, les districts et les communes sont des corporations publiques, tel que nous le voyons dans l’art. 762 du Code des Obligations Suisse (CO). La Confédération Suisse, les cantons, les districts et les communes sont des corporations publiques enregistrées dans le registre des entreprises : https://www.uid.admin.ch/Search.aspx?lang=fr

Confédération Suisse IDE : CHE-114.587.210

Office des poursuites du canton de Neuchâtel | (Service IDE) : CHE-482.865.913

Canton de Neuchâtel IDE : CHE-114.965.341

Ces corporations sont donc dans l’obligation d’annuler leurs dettes illégitimes.

Lois universelles, droit naturel et de la morale :

Le droit divin et le droit naturel se définissent sur les règles universelles, intemporelles et imprescriptibles, supérieures à la volonté des pouvoirs politiques et assurent à tous les êtres humains des droits fondamentaux identiques. Un droit fondamental peut être limité ou suspendu dans un contexte où son exercice violerait les droits d'autres êtres naturels souverains, par l’application de jurisprudence.

Droits fondamentaux négatifs, droits naturels :

John Locke (1632-1704) garantie de droits ;

La liberté, la vie et la propriété (ou sécurité) https://mapage.clg.qc.ca/guyferland/droits.htm https://www.contrepoints.org/2011/11/20/56631-le-droit-naturel-selon-john-locke

Droit coutumier :

Le droit coutumier, système juridique, se fonde sur un ensemble de coutumes depuis des millénaires définissant les règles de conduite à adopter les uns envers les autres, souvent non rédigées.

Ne nuit à personne, ne cause aucun préjudice, aucun dommage et aucun dégât.

Code Commercial Uniforme UCC :

Le code commercial traite du commerce, de l’échange des biens et des services et des contrats. L’ensemble du système commercial s’articule autour de la loi UCC.

Suite au One People's Public Trust OPPT, nous avons tous une valeur. Aujourd’hui, les ressources de notre planète nous appartiennent à tous selon la loi UCC. C’est notre droit de naissance. Elles ne peuvent donc ni être possédées, ni nous être vendues à un certain prix, ni dosées en unités de "salaire" pour nous asservir, ni retenues pour créer la pauvreté ou la pénurie.

Les lois universelles du droit commercial, droit divin de la source biblique, sont écrites pour réglementer notamment un échange équitable, le transfert des patrimoines et les successions et pour ratifier les accords (faire les alliances).

Dans l’attente d’un retour à la paix, que mon honneur soit rétablie, que mon casier soit lavé des abus des fonctionnaires que j'ai dénoncé, que je sois dédommagé des vols que j’ai subi ainsi que plus aucune de mes donnée reste stockée dans vos bases de données qui ont été fait par abus divers, je vous prie de croire, Mesdames, Messieurs, en l’assurance de ma détermination et vous adresse mes salutations cordiales.




Art. §1-207 et §1-308 du Code Commercial Uniforme UCC ;

Tous droits réservés, sans préjudice ;

Ameena Jocelyne de la famille Stoquet par ouï-dire

Le ven. 27 sept. 2019 à 19:00, Amy Joce <stoquet.ameena@gmail.com> a écrit :

Bonjour Madame,


Je ne consens pas à payer un seul centime sur une erreur que vous avez effectué et ceci malgré la transmission de tous les documents par courriels comme m'a eu demandé votre secrétaire et que elle m'a bien demandé de confirmer par courriel que je maintiens ma demande d'aide judiciaire pour la demande de l'aide judiciaire vous aviez donc reçu tous les documents pour faire la demande d'aide judiciaire. Vous saviez dès le premier jour la transparence total de ma situation financière et donc vous saviez dès lord que une aide judiciaire était nécessaire. Vous n'avez pas fait la demande ceci est votre faute que je n'ai pas a payer pour une faute commise par vous-même. De plus étant donné que vous avez voulu m'imposer d'ailleurs vous avez piqué la mouche quand je vous ai simplement signalé une erreur dans votre courrier et que non pas moyen que j'aille à Delémont au Jura alors que j'ai un document qui dit la chaux-de-fond pour mon fils. Vous avez là commis une faute grave de vouloir me contraindre à aller à une mise en visite dans un autre Canton que ce que la loi prévoit. Voilà quand on dénonce pas les avocats à votre fameuse autorités de surveillance des avocats de la chaux-de-fond. Je me tiens à disposition à raconter toutes les vérités rien que la vérités je le jure. Je répète JE NE CONSENS PAS à accepter vos erreurs et donc le préjudice financier qui en résulte avec abus. Salutations.

Ameena Stoquet


Ameena Stoquet
Rue du Marais 15
2400 Le locle
courriel: stoquet.ameena@gmail.com

Pièces jointes 

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