Expertise psychiatrique ?


Cher Monsieur, 

Merci pour votre appréciation et vos suggestions bien utiles.
En fait, je redoute de m'adresser à cette doctoresse, mais comme son expertise regorge d'erreurs et de mensonges, je me devais de réagir et de communiquer cette stratégie à mon endroit aux membres de notre association.
Sous la forme d'un projet de réponse qui mette en évidence les distorsions et manquements aux règles de cette procédure au cours de laquelle on repêche après coup des acteurs improbables (intégrés à la procédure) pour contrebalancer l'effet de la plainte pénale en cours, m'obligeant en quelque sorte à cumuler les plaintes pour délation, calomnie, falsification, etc.
En outre, ma situation se complique du fait que l'assistance juridique m'est refusée par quasiment tous les avocats que j'ai approchés, car ils invoquent le "conflit d'intérêt", c'est-à-dire en clair leur lien avec ces institutions truffées de fonctionnaires corrompus... 

Cordialement,
A.-C. Stuby Vintalas

Le ven. 19 oct. 2018 à 10:14, Gerhard <catharsisgu@gmail.com> a écrit :


Chère Madame Stuby,

Evidemment, vous devez impérativement contester les calomnies, autrement
les autorités pourront faire valoir que vous l’avez avoué être la vérité.

Aussi, je trouve que votre mail n’est pas trop long. Comme plaignant,
on crache le maximum – comme accusé, on se tait.

C’est hallucinants, avec quelle énergie criminelle on se prend à vous.
Votre argumentation est parfaite. Mais pour quelle raison adressez-vous
cette contestation à la psychiatre Dr Monika Rybisar Van Dyke ?
Qui est-elle par rapport à vous ?
Je pense que vous devrez plutôt fournir ces information au Ministère
public qui doit instruire votre plainte pour calomnie.

Si rien ne bouge, demandez au Ministère public le droit d’aller
consulter le dossier. Vous verrez, si quelque chose a été instruit
ou non, et quelles mesures ont été prises ou pas prises. Le cas échéant,
vous pouvez adresser vos griefs au Procureur général, bien
que le canton de Vaud se paye le luxe d’avoir un hyper-corrompu
à la tête du Ministère public.

Avec mes meilleurs sentiments
Gérard Ulrich


Objet :expertise psychiatrique à charge dont j'ai reçu copie un mois et demi plus tard
Importance :Élevée

Bonjour,

Je porte à votre connaissance que l'expertise psychiatrique légale de ma mère, dont j'ai commenté le contenu, après relecture, contient comme par hasard des éléments supplémentaires à charge depuis mon dépôt de plainte à l'endroit de la doctoresse responsable du signalement calomnieux. Subitement on sort du chapeau une "infirmière référente" dont le nom ne m'avait jamais été communiqué avec cette fonction, car elle faisait simplement partie de l'équipe de soins à domicile... pour lui faire corroborer les dires de la Doctoresse ayant fait l'objet de ma plainte pénale auprès des procureurs du Nord vaudois. J'attends toujours le résultat... voire le classement...
J'ai préparé une réponse à la Dr qui est ancien médecin cadre agréé de l'Institut de psychiatrie légale du CHUV, Centre d'expertises du Nord vaudois.
Je me doute que vu le profil de l'experte, la réponse risque d'être répressive...
Mais les procédés utilisés le sont au mépris de l'équité de traitement.
Faut-il m'abstenir ou protester contre cette nouvelle attaque diffamatoire par le biais de l'expertise dont j'avais dénoncé l'absence dans le dossier ?
Pour votre information, je me permets de joindre le texte de ce projet de réponse ci-dessous, si vous avez la patience d'y jeter un œil :

"A l'attention de la Dr Monika Rybisar Van Dyke, Centre médical d'Epalinges VD:

Madame la Doctoresse,

A la lecture de la copie de ce document, qui m'a été adressée près d'un mois et demi après sa réception par la Justice de Paix de Payerne, je vous fais part de mes commentaires au sujet de l'expertise psychiatrique de ma mère Ch. Stuby et de certaines incohérences :
âge faux: 93 et non 83; date de naissance de Charlotte Stuby : 25.05.1925;
nombre de visites à l'ems effectué par moi faux: 8 et non 2 jusqu'à 10.2018 (preuves existantes);
date de l'expertise largement postérieure (07.-08.2018) à son établissement fictif (fin 03. début 04.2018) dans le dossier de Ch. Stuby et à la constatation de son absence dans le dossier par moi en juin 2018 lors de ma copie du dossier au Tribunal de Payerne;
relations sociales : le mari "serait décédé en 2009": que signifie ce subjonctif ? La
date du décès vérifiable de mon père David Etienne Stuby est le 17.08.2009, de surcroît au HIB (Hôpital de) Payerne...;
"ancienne infirmière référente Mme Vieira": tout à fait faux!: l'infirmière référente désignée par ma mère et moi-même était Mme Elisabeth Stuby de Moudon, nièce de Charlotte Stuby. A laquelle la directrice du Cms n'a pas autorisé l'accès au dossier médical... et pour cause, il ne contenait aucune des allégations calomnieuses transmises à la Justice de Paix de Payerne dans le but avéré de faire appel à la Justice de Paix pour l'établissement d'un PLAFA...: l'infirmière référente de ma mère au CMS Moudon de 07.2016 à 03.2018 était non pas cette Mme Vieira, mais Mme Marie Mato de Dompierre VD, laquelle a bloqué tout dialogue, et s'est dissimulée derrière une directive alléguée, et même pas justifiée : c'est à elle aussi d'être confrontée aux allégations calomnieuses, alléguées en provenance de "signalements du cms" à l'endroit des proches: aucune confrontation ni vérification de la véracité de ces signalements n'a été rendue possible, délibérément sans nul doute. Ceci est une contestation de la stratégie mensongère utilisée. L'implication de la Dr Golcea est déterminante par ailleurs, car c'est elle qui a produit le signalement calomnieux aux fins de lancer le PLAFA. Elle fait l'objet d'une plainte pénale pour ce motif. Je récuse donc à nouveau l'interprétation biaisée et calomnieuse de la Dr A. Golcea citée dès la p.2 de l'expertise dans le paragraphe "Motif de l'expertise". Je récuse également le faux témoignage émis par Mme Vieira cité en p.4, paragraphe "Indications de l'entourage et de son réseau" et concernant l'hygiène, la lessive, le chauffage, l'eau chaude, le lit et la protection du matelas. La machine à laver acquise en 2015 était utilisée très régulièrement, il y avait toujours des vêtements propres, les rares pannes de chauffage à mazout étaient compensées par l'usage du radiateur en permanence dans la chambre de ma mère, et l'apport d'eau chaude dans la salle de bains (chauffée dans la cuisine parfaitement équipée). Je récuse donc ce nouveau témoignage calomnieux. D'autant que comme déjà souligné par mon avocat J. Crettaz, le devoir de maintenir de bonnes conditions d'hygiène de la patiente, et notamment la tenue du lit, incombait au cms Moudon, dès lors que la mission lui en avait été confiée en juillet 2016. Il est également incompréhensible que pendant presque 2 ans aucune observation directe n'ait été communiquée par les employés du cms Moudon à la famille, concernant ces manquements allégués. J'ajoute enfin que nulle part n'est indiqué que j'ai reçu pour l'engager à domicile une infirmière indépendante le soir même du retour de ma mère du HIB Payerne: Mme Marta Varela à Dompierre VD. Ceci bien que je l'aie souligné et mentionné au cours de la procédure. Je conteste donc l'interprétation du refus d'accepter à nouveau le passage du cms pendant les quelques jours avant l'admission à la Résidence des Diablerets : vu le rôle joué par le cms Moudon dans la propagation de la calomnie à mon encontre, et l'obstruction massive opposée par cette structure pourtant en théorie au service du bien-être de la population, j'ai estimé que la contrainte imposée n'était pas compatible avec le maintien du mandat. D'ailleurs j'ai les preuves de mon assiduité à veiller au bien-être de ma mère et de ma réactivité lors des prises en charge médicales : il n'y a jamais eu d'incident ou de problème concernant ma mère pendant la durée de ma prise en charge, de 08.2009 à 04.2018, date à laquelle j'ai été contrainte de choisir un hébergement en ems, bien que j'aie sollicité des conseils auprès des partenaires de santé. Lesquels ont choisi la répression comme réponse.

Avec mes remerciements anticipés pour l'attention accordée à ces lignes, et mes salutations distinguées.

Anne-Christine Stuby Vintalas

Copie à la Juge A.-S. Pache."

Cordialement,

Anne-Christine Stuby Vintalas

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