FAUX DANS LES TITRES

 


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Le 20 janvier 2021

 

FAUX DANS LES TITRES dans la succession Jacques André GACOND (décédé dans le Canton de Neuchâtel, Suisse, en juillet 2007). Succession ouverte en août 2007, détournée depuis plus de 13 ans.

FRAUDES FISCALES, CRIMES FINANCIERS TOUJOURS EN COURS

 

Deux faux dans les titres en automne 2007 sans intervention à ce jour de la part du Ministère public, dont le Procureur général, Pierre AUBERT et la Procureure Vanessa GUIZZETTI PICCIRILLI.

Ces deux faux dans les titres concernent notamment une déclaration d’impôt sur les successions illicite et incomplète, signée frauduleusement par une personne non habilitée, l’ancien Maire de Neuchâtel, Claude BUGNON, expert fiscal, à la place du premier exécuteur testamentaire, Me Marc LORENZ, avocat, puis un inventaire successoral illicite et incomplet, signé par M. MATTHEY sous l’égide de son chef Michel OPPLIGER, expert fiscal, du Service des Contributions, La Chaux-de-Fonds (NE), toujours en l’absence obligatoire de l’exécuteur testamentaire et des 4 cohéritiers.    

Ces deux faux dans les titres, notamment, n’ont pas été, dès l’automne 2007, dénoncés sur le champ au Ministère public, par des hauts fonctionnaires successifs au Service des Contributions, La Chaux-de-Fonds (NE), dans la Magistrature et ses différents Services dans le Canton de Neuchâtel, en charge de cette succession détournée, selon leur obligation, en vertu de l’art.22 Lst, Loi sur la fonction publique du Canton de Neuchâtel et de l’art. 33 LI CPP /NE, Loi d’introduction au code de procédure pénale.

 

La fonction et la position de garant et de contrôle obligeaient de surcroît le chef, Michel OPPLIGER et son collègue M. MATTHEY à dénoncer immédiatement au Ministère public, Claude BUGNON et l’exécuteur testamentaire Me Marc LORENZ pour leurs délits. Ils ne l’ont pas fait.

Le Service des Contributions savait que de nombreux avoirs bancaires n’avaient pas été dénoncés au fisc en automne 2007, au détriment de l’Etat de Neuchâtel et des contribuables neuchâtelois, tout particulièrement en ces temps de graves pertes, de chiffres rouges, de coupes budgétaires.
Les lacunes les plus flagrantes et grossières connues à ce jour sont notamment: des avoirs bancaires, des créances de la succession, des prêts, donations en faveur des cohéritiers Cyril GACOND et Magali GHEZZI, née GACOND.

 

Le juge Fabio MORICI, Tribunal régional du Littoral et du Val-de-Travers, Neuchâtel, en charge de la succession Jacques André GACOND depuis août 2007 n’a rien dit et n’est pas intervenu.

Le Magistrat Fabio MORICI, puis son successeur en 2013, le juge Alexandre SEILER, devaient en leur position d’autorité, de garant et de contrôle, dénoncer immédiatement ces deux faux dans les titres au Ministère public en vertu de l’art. 22 Lst, Loi sur la fonction publique du Canton de Neuchâtel et de l’art. 33 LI CPP/NE.

 

 

Michel OPPLIGER, M. MATTHEY, puis dès l’automne 2009 Youssef WAHID, chef successeur et son bras droit, Philippe PORRéE, ainsi que Pierre VOIROL, expert fiscal, Mireille GERBER, juriste, du Service des contributions, ont failli à leur devoir, enfreint leur obligation de dénoncer sur le champ au Ministère public ces faux dans les titres, délits poursuivis d’office, crimes financiers.
Ceci relève de l’entrave à l’action pénale en vertu de l’art. 305 CP, Code pénal.

Le juge Fabio MORICI devait fermement dénoncer au Ministère public, Claude BUGNON, Me Marc LORENZ, M. MATTHEY, Michel OPPLIGER, Muriel GACOND, France Hélène, née TZAUT, usufruitière de cette succession, entre autres.

Le fonctionnaire Fabio MORICI, juge, dès décembre 2007 a failli à ses obligations. Ceci relève de l’entrave à l’action en justice en vertu de l’art. 305 CP avec complicité, art. 25 CP.

 

 

Depuis 2007, aucune déclaration d’impôt sur les successions, aucun inventaire successoral ni aucun inventaire matériel n’ont été établis par les deux exécuteurs testamentaires successifs, Me Marc LORENZ et Me Patrick FRUNZ, notaire (nommé en septembre 2008 par le juge Fabio MORICI, exerçant son autorité de surveillance sur Me Patrick FRUNZ, notaire à la Chaux-de-Fonds).

Ce qui est impensable.

Le régime matrimonial n’a toujours pas été effectué depuis plus de 13 ans et aucune convention de partage n’a été établi par aucun des deux exécuteurs testamentaires, Me Marc LORENZ, s’étant destitué en août 2008 suite à de graves fautes d’ordre pénal.

Cette succession, à la base, était simple.

 

Et depuis décembre 2007, cette succession relève PRIORITAIREMENT du Droit pénal…

En cascade en suite dès janvier 2008, évidemment aucun des autres intervenants, de nombreux hauts fonctionnaires ne se sont, semble-t-il, pas risqués à dénoncer ces délits, plusieurs faux dans les titres, fraudes fiscales, crimes financiers. (JURIA NOVIT CURIA)

En tous les cas :
ni Laurent KURTH, Conseiller d’Etat en charge des finances et de la santé, exerçant l’autorité de surveillance sur les fonctionnaires et chefs du Service des contributions. Depuis 2016, Laurent KURTH est au courant.
ni Me Marc LORENZ, avocat et premier exécuteur testamentaire,
ni Me Patrick FRUNZ, notaire et avocat, son successeur comme exécuteur testamentaire,
ni au moins 30 hauts fonctionnaires de 4 Tribunaux et du Ministère public du Canton de Neuchâtel, dont Fabio MORICI, Bastien SANDOZ, François DELACHAUX, Niels SöRENSEN, Dominique WITTWER, Arabelle SCYBOZ, Alain TENDON, Denis ROULET, Joëlle BERTHOUD SCHAER, Corinne JEANPRETRE, Marie Pierre de MONTMOLLIN, Pierre CORNU, Frédérique CURRAT WYRSCH, Julie HIRSCH, Jeanine DE VRIES REILINGH, David GLASSEY, Alain RUFENER, Alexandre SEILER, Michaël ECKLIN,  Pierre AUBERT, procureur général, Vanessa GUIZZETTI PICCIRILLI, Procureure
ni certains notaires,
ni Claude BUGNON, économiste, expert fiscal et ancien maire de Neuchâtel.

 

Pour quelles raisons ? A qui profite cette omerta ? A qui profite le crime ?

 

Le dossier de cette succession détournée depuis 2007 est éloquent et étayé de preuves et met en lumière les pratiques intolérables du microcosme judiciaire neuchâtelois au mépris de l’art.22 Lst, Loi sur la fonction publique du Canton de Neuchâtel et de l’art. 33 LI CPP /NE, Loi d’introduction au code de procédure pénale.

Le microcosme tel que relevé dans l’article du journal ARCINFO du 10 juillet 2020, « Malaise, L’éviction d’une juge sème le trouble » après la non-réélection d’Isabelle BIERI, juge, fonctionnaire au Tribunal Régional du Littoral et du Val-de-Travers, Boudry (NE), parmi 45 juges et procureurs dans le canton de Neuchâtel, à la suite de la décision du Grand Conseil Neuchâtelois, sans procédure disciplinaire menée par le Conseil de la Magistrature de Neuchâtel.

https://www.facebook.com/arcinfofanpage/posts/3230518560328343

 

Vraiment, des magistrats, hauts fonctionnaires, n’appliquant pas le Droit, la Loi, ne sont ni surveillés ni suivis et ne font que ce qu’ils veulent quand ils veulent. (JURA NOVIT CURIA)  

A quand une vraie commission de surveillance indépendante du travail, de notre justice neuchâteloise, et partout en Suisse, bien trop payée avec le bon argent de nos impôts pour son si mauvais travail en contrepartie, en tous les cas, dans cette affaire de succession détournée ?

Chaque affirmation est étayée par des documents officiels, ci-annexés ou déjà mis dans mes écrits sur le site, abus-suisses.blogspot.com et sur d’autres plateformes d’août 2019 à ce jour.

 

 

Chantal Perret

 

Annexes : ment. 

https://drive.google.com/file/d/1CFpQEloz6faKnoOz1dXbkb-5me44SUCc/view?usp=sharing

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