https://abus-suisses.blogspot.com/2020/03/stop-aux-criminels-en-bandes-organisees.html
Bonjour à toutes et tous,
Des médecins demandent que nos mouvements relayent un message de prévention sur le COVID19 auprès de leurs audiences respectives afin de notamment limiter l'effet de panique (et donc la propagation du virus).
Le voici :
"De trop nombreuses personnes sont tentées de faire leurs courses dans des magasins bondés, de voyager ou de rejoindre leurs proches, ce qui ne fait qu'aggraver le risque de propagation. Ces comportements facilitent la contamination simultanée d'un grand nombre de personnes et, in fine, l'engorgement des hôpitaux, dont la situation est déjà critique dans certaines régions. Tous les médecins nous alertent et se préparent à une vague massive de cas dans les prochaines semaines.
Nous vous proposons de communiquer auprès de vos membres par tous les canaux à votre disposition afin de les encourager à respecter les consignes de sécurité, dans le calme.
Les gens doivent comprendre que si le coronavirus n'est pas forcément plus dangereux qu'un autre en tant que tel, c'est l'arrivée simultanée d'un trop grand nombre de patients dans les hôpitaux qui représente la plus grande menace. L’objectif est donc de ralentir la propagation du virus pour éviter les phénomènes de saturation des services de santé :
* Ne pas sortir de chez soi (il n'y a pas de risque de pénurie
alimentaire, mais un risque avéré de contamination en espace confiné)
* Limiter au maximum les appels aux urgences... Seules les situations de détresse vitale devront monopoliser le corps médical
* Limiter au maximum les contacts interpersonnels, particulièrement dans les espaces clos mais aussi à l’extérieur, les familles doivent s’isoler au maximum, les seuls activités doivent être essentielles, au domicile ou en extérieur sans rapprochement avec d’autres individus."
Merci de relayer, partout où vous le pouvez !
PS: Ils cherchent urgemment des machines et du personnel pour intuber et/ou oxygéner le sang.
Les réactions à la vidéo mise en ligne le mardi 25 février par l'IHU de Marseille et intitulée à l'origine « Coronavirus : Fin de partie », annonçant qu'un traitement a été trouvé et démontré comme efficace contre le Covid-19, n'ont été que faiblement relayées par les médias, voire ont suscité de la suspicion de la part d'autres médecins interrogés.
Pourtant Didier Raoult, chercheur biologiste et professeur de microbiologie est considéré comme le premier expert mondial quant aux maladies infectieuses. Il a monté en 1983 son propre laboratoire, « l'Unité des Rickettsies », spécialisé dans la culture des bactéries intracellulaires, laboratoire qui comprend maintenant plus de 400 personnes. Le monde à l'envers ?
Après l'enthousiasme affiché par ce professeur, qui exerce depuis plus de 30 ans, on aurait pu s'attendre à une déferlante de titres annonçant la nouvelle, ou, à tout le moins, que ce traitement soit évoqué lors des points infos des journaux. Mais non, c'est quasiment silence radio. Alors pourquoi ?
En fait il semble qu'il y ait plusieurs points qui aillent à l'encontre des intérêts des « maîtres du monde ».
Une crise d’ego ?
Tout d'abord l'étude n'a pas été effectuée par les États-Unis ou l'Europe, mais par les Chinois. Ces derniers ayant publié leurs résultats en Chine, et pas dans une prestigieuse revue à comité de lecture occidentale, l'étude est perçue avec dédain. Pourtant Raoult, qui indique avoir par le passé travaillé avec la Chine, explique qu'aujourd'hui les meilleurs experts sont là-bas et qu'ils ont simplement dépassé le reste du monde. En ce sens, il faut bien admettre qu'il navigue à contre-courant et qu'il semble faire fi des considérations politiques sans craindre de mettre son statut en jeu par ses déclarations. Gageons qu'il s'appuie sur son expérience pour faire confiance à l'étude chinoise. Quand on connaît un sujet, on repère facilement les indices pour estimer qu'un principe peut être pris en considération ou pas.
Ensuite, comme il l'explique, il n'est lui-même pas parisien, seulement marseillais. Il lui est donc interdit de donner de leçon aux élites. C'est comme ça, on est en France, c'est le jacobinisme. Et il existe des gardiens pour faire respecter l'ordre.
Notons que ce docteur continue en disant « Je crois en tout cas que cette épidémie n'est ni la première ni la dernière et qu'une psychose déraisonnée se met en place. Il suffit de prendre les transports à Paris pour le constater. » Ah vraiment ??! Pourtant, presque personne ne porte de masque dans le métro et le RER parisiens. Pour être tout à fait exact, il y en a parfois, mais vraiment rarement, et quand c'est le cas, cela ne concerne qu'une ou deux personnes. Alors, c'est quoi ces affirmations ?
Les docteurs parisiens dont Raoult se moque en viennent à demander une étude en labo puis clinique, que justement les Chinois viennent de terminer au pas de charge, sur 100 patients avec groupe de contrôle... Est-ce de l'ignorance ou du mépris ?
Un traitement qui ne rapporte rien
Le but du système de santé n'est pas vraiment de soigner les gens mais, à travers les médecins, de permettre aux laboratoires d'engranger des bénéfices. Dans ces conditions, le traitement proposé par les Chinois pose problème. Deux comprimés par jour de chloroquine à 10 centimes l'unité pendant 10 jours représentent un total de 2 euros. Par ailleurs, ce traitement est vieux de 70 ans et plus aucun brevet n'existe. La marge financière pour les laboratoires pharmaceutiques est donc très maigre, surtout en regard d'un hypothétique vaccin.
Des contre arguments bien médiocres
L'opposition a manu militari utilisé les effets secondaires du traitement à la chloroquine : atteintes rétiniennes pouvant conduire à la cécité dans certains cas et intoxication aiguë, bien documentée, susceptible de déclencher des problèmes cardiaques ou respiratoires à fortes doses. Le professeur Raoult lui, dit avoir traité 4 000 personnes et n'avoir jamais rencontré de tels effets secondaires. Alors, pourquoi mettre en doute son expérience de terrain ?
Le vaccin en question
Alors que l'annonce de l'IHU de Marseille fait un flop, la chaîne CNews faisait elle la promotion, le vendredi 28 février, d'un vaccin « inventé en Israël ». Vaccin qui, pour le coup, n'a pas du tout été testé sur l'homme et est destiné aux volailles contre un coronavirus qui est propre à ces animaux. Mais lui, c'est sûr, il va fonctionner...
À noter qu'un autre médicament peu onéreux est en cours d'évaluation : la quercétine. Cette substance a déjà été utilisée pour traiter et prévenir l'Ebola ainsi que le virus Zika. Mais contrairement à la chloroquine, le résultat des essais cliniques n'est pas encore publié.
À force de crier au loup...
À clairement ne pas vouloir admettre que ce virus peut d'ores et déjà être traité et donc à hystériser la chose, ne risque-t-on pas de ne plus avoir de réaction correcte de la part des gens si dans un futur proche un gros virus bien méchant, venait lui à se présenter ?
Mais c'est peut-être ce qui est voulu. Pavlov avec ses expériences sur les chiens s'est rendu compte d'un phénomène qu'il a appelé l'inhibition transmarginale. Le phénomène existent chez les êtres humains aussi. Soumis à d'intenses stimuli le système nerveux atteint un point de rupture, à un moment donné. Suivant la résilience des individus, ce point de rupture est différemment atteint par le biais de différentes étapes. Les voici :
1) Créer du stress en augmentant l'intensité du signal, ce signal étant le mot « peur » diffusé à la population.
2) Prolonger l'intervalle de temps entre la diffusion du signal et l'arrivée de la récompense, c'est à dire ici d'un traitement. On comprend donc que le traitement ne doit pas arriver trop tôt, il faut laisser le stress faire son effet. Une bonne partie des gens sous ce stress va alors se résigner, être plus docile, et être moins attentifs à toute autre chose.
3) Envoyer des messages contradictoires. On a un traitement, finalement non. Il y a plus de morts, finalement non. C'est super grave mais ce n'est pas le reflet de la réalité, etc. Inconsciemment le niveau de stress augmente encore.
4) Carrément affaiblir physiquement les personnes. Les vaccins pourraient bien être ce moyen. On se rappelle de l'augmentation de cas de sclérose en plaques dénoncé par des personnes ayant reçu le vaccin contre l'hépatite B. Cette méthode-là est sournoise et horrible. Elle est utilisée contre les individus pourvus d'une constitution solide et d'une intelligence supérieure, qui résistent à la domination et au contrôle.
Voici la réponse de Didier Raoult aux assauts de ses opposants :
- Voici le lien de la publication chinoise au format pdf : Breakthrough: Chloroquine phosphate has shown apparent efficacy in treatment of COVID-19 associated pneumonia in clinical studies.
- La courbe des cas en Chine (en bleu le nombre de personnes guéris, en rouge le nombre de nouveaux cas) :
Le professeur et virologue Marc Van Ranst de l'Université de Louvain (Belgique) s'associe aux positions prises par le Pr Didier Raoult :
Pourtant Didier Raoult, chercheur biologiste et professeur de microbiologie est considéré comme le premier expert mondial quant aux maladies infectieuses. Il a monté en 1983 son propre laboratoire, « l'Unité des Rickettsies », spécialisé dans la culture des bactéries intracellulaires, laboratoire qui comprend maintenant plus de 400 personnes. Le monde à l'envers ?
Après l'enthousiasme affiché par ce professeur, qui exerce depuis plus de 30 ans, on aurait pu s'attendre à une déferlante de titres annonçant la nouvelle, ou, à tout le moins, que ce traitement soit évoqué lors des points infos des journaux. Mais non, c'est quasiment silence radio. Alors pourquoi ?
En fait il semble qu'il y ait plusieurs points qui aillent à l'encontre des intérêts des « maîtres du monde ».
Une crise d’ego ?
Tout d'abord l'étude n'a pas été effectuée par les États-Unis ou l'Europe, mais par les Chinois. Ces derniers ayant publié leurs résultats en Chine, et pas dans une prestigieuse revue à comité de lecture occidentale, l'étude est perçue avec dédain. Pourtant Raoult, qui indique avoir par le passé travaillé avec la Chine, explique qu'aujourd'hui les meilleurs experts sont là-bas et qu'ils ont simplement dépassé le reste du monde. En ce sens, il faut bien admettre qu'il navigue à contre-courant et qu'il semble faire fi des considérations politiques sans craindre de mettre son statut en jeu par ses déclarations. Gageons qu'il s'appuie sur son expérience pour faire confiance à l'étude chinoise. Quand on connaît un sujet, on repère facilement les indices pour estimer qu'un principe peut être pris en considération ou pas.
Ensuite, comme il l'explique, il n'est lui-même pas parisien, seulement marseillais. Il lui est donc interdit de donner de leçon aux élites. C'est comme ça, on est en France, c'est le jacobinisme. Et il existe des gardiens pour faire respecter l'ordre.
Notons que ce docteur continue en disant « Je crois en tout cas que cette épidémie n'est ni la première ni la dernière et qu'une psychose déraisonnée se met en place. Il suffit de prendre les transports à Paris pour le constater. » Ah vraiment ??! Pourtant, presque personne ne porte de masque dans le métro et le RER parisiens. Pour être tout à fait exact, il y en a parfois, mais vraiment rarement, et quand c'est le cas, cela ne concerne qu'une ou deux personnes. Alors, c'est quoi ces affirmations ?
Les docteurs parisiens dont Raoult se moque en viennent à demander une étude en labo puis clinique, que justement les Chinois viennent de terminer au pas de charge, sur 100 patients avec groupe de contrôle... Est-ce de l'ignorance ou du mépris ?
Un traitement qui ne rapporte rien
Le but du système de santé n'est pas vraiment de soigner les gens mais, à travers les médecins, de permettre aux laboratoires d'engranger des bénéfices. Dans ces conditions, le traitement proposé par les Chinois pose problème. Deux comprimés par jour de chloroquine à 10 centimes l'unité pendant 10 jours représentent un total de 2 euros. Par ailleurs, ce traitement est vieux de 70 ans et plus aucun brevet n'existe. La marge financière pour les laboratoires pharmaceutiques est donc très maigre, surtout en regard d'un hypothétique vaccin.
Des contre arguments bien médiocres
L'opposition a manu militari utilisé les effets secondaires du traitement à la chloroquine : atteintes rétiniennes pouvant conduire à la cécité dans certains cas et intoxication aiguë, bien documentée, susceptible de déclencher des problèmes cardiaques ou respiratoires à fortes doses. Le professeur Raoult lui, dit avoir traité 4 000 personnes et n'avoir jamais rencontré de tels effets secondaires. Alors, pourquoi mettre en doute son expérience de terrain ?
Le vaccin en question
Alors que l'annonce de l'IHU de Marseille fait un flop, la chaîne CNews faisait elle la promotion, le vendredi 28 février, d'un vaccin « inventé en Israël ». Vaccin qui, pour le coup, n'a pas du tout été testé sur l'homme et est destiné aux volailles contre un coronavirus qui est propre à ces animaux. Mais lui, c'est sûr, il va fonctionner...
À noter qu'un autre médicament peu onéreux est en cours d'évaluation : la quercétine. Cette substance a déjà été utilisée pour traiter et prévenir l'Ebola ainsi que le virus Zika. Mais contrairement à la chloroquine, le résultat des essais cliniques n'est pas encore publié.
À force de crier au loup...
À clairement ne pas vouloir admettre que ce virus peut d'ores et déjà être traité et donc à hystériser la chose, ne risque-t-on pas de ne plus avoir de réaction correcte de la part des gens si dans un futur proche un gros virus bien méchant, venait lui à se présenter ?
Mais c'est peut-être ce qui est voulu. Pavlov avec ses expériences sur les chiens s'est rendu compte d'un phénomène qu'il a appelé l'inhibition transmarginale. Le phénomène existent chez les êtres humains aussi. Soumis à d'intenses stimuli le système nerveux atteint un point de rupture, à un moment donné. Suivant la résilience des individus, ce point de rupture est différemment atteint par le biais de différentes étapes. Les voici :
1) Créer du stress en augmentant l'intensité du signal, ce signal étant le mot « peur » diffusé à la population.
2) Prolonger l'intervalle de temps entre la diffusion du signal et l'arrivée de la récompense, c'est à dire ici d'un traitement. On comprend donc que le traitement ne doit pas arriver trop tôt, il faut laisser le stress faire son effet. Une bonne partie des gens sous ce stress va alors se résigner, être plus docile, et être moins attentifs à toute autre chose.
3) Envoyer des messages contradictoires. On a un traitement, finalement non. Il y a plus de morts, finalement non. C'est super grave mais ce n'est pas le reflet de la réalité, etc. Inconsciemment le niveau de stress augmente encore.
4) Carrément affaiblir physiquement les personnes. Les vaccins pourraient bien être ce moyen. On se rappelle de l'augmentation de cas de sclérose en plaques dénoncé par des personnes ayant reçu le vaccin contre l'hépatite B. Cette méthode-là est sournoise et horrible. Elle est utilisée contre les individus pourvus d'une constitution solide et d'une intelligence supérieure, qui résistent à la domination et au contrôle.
Voici la réponse de Didier Raoult aux assauts de ses opposants :
- Voici le lien de la publication chinoise au format pdf : Breakthrough: Chloroquine phosphate has shown apparent efficacy in treatment of COVID-19 associated pneumonia in clinical studies.
- La courbe des cas en Chine (en bleu le nombre de personnes guéris, en rouge le nombre de nouveaux cas) :
Le professeur et virologue Marc Van Ranst de l'Université de Louvain (Belgique) s'associe aux positions prises par le Pr Didier Raoult :
Commentaires
Enregistrer un commentaire